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Le 3 avril dernier, le Centre suisse d’information toxicologique (Tox) tirait la sonnette d’alarme dans la presse écrite « Printemps précoce: gare aux serpents venimeux ». Trois cas de morsures dues à des vipères en une semaine avaient été recensés dans les Alpes suisses, un événement inhabituel en cette période de l’année.
« Il n’y a pas plus de vipères », tel est le titre de l’article de Jean-Yves Gabbud paru en page 7 du Nouvelliste de ce mardi 8 avril 2014, une très intéressante explication de l’herpétologue sédunois Yves Brunelli sur la situation en Valais.